Soudain, la lumière se tut. Et son timbre s’éleva, suivi de milliers de bras.
Un jeu d’ombres et de néons se mit en marche, tandis qu’une multitude d’écrans lumineux tentaient de graver des bribes de ce qui se déroulait sous leurs yeux.
Les danseurs se mirent en mouvement. Des milliers de mains accompagnaient les instruments.
Paris avait pris feu. Elle était l’étincelle.
“On a tous le droit d’être anonyme. Moi, j’ai choisi un pseudonyme. J’ai choisi Christine !”
Très joli post Mlle Brunet, j’ai l’impression d’y être avec vous ! 😉
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Oh merci ! C’était magique ce concert !
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